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Textes de l’album « Un autre que moi »
J’aurai voulu te dire ma vie, toi qui aime un autre que moi
J’aurai voulu te dire mes nuits , toi qui ne dors plus contre moi
Oui mais là ,là c’est difficile et mots volent en éclats
Là je me sens comme une brindille hésitant entre ces mots là
Et puis te dire que le vent souffle et sur nos vies laisse parfois
Des traces qu’on dirait pintes en rouge toi qui aime un autre que moi
Oui mais là ,là c’est difficile et mots volent en éclats
Là je me sens comme une brindille soufflé par ce vent là
Je ne voudrais plus me sentir vivre, tellement la vie fait mal parfois
Je ne voudrais plus t’entendre rire toi qui ne raisonne plus pour moi
Oui mais là ,là c’est difficile et mots volent en éclats
Là je me sens comme une brindille cachée dans cette ombre là
Mais ne croit pas que je vacille de te laisser ta vie à toi,
Moi je voudrais tellement que tu brilles et même si tu brilles loin de moi
Oui mais là ,là c’est difficile et mots volent en éclats
Là je me sens comme une brindille toi qui aime un autre que moi
Toi qui aime un autre que moi x3
A quoi ça sert, à rien, à part nourrir nos peines,
Le temps, c’est rien, on court à perdre haleine,
On laisse en chemin comme une pelote de laine
De nos vies bouts d’ficelles
A quoi ça rime, nos doutes, à part tracer la route
Nos larmes c’est rien, le bonheur c’est demain
Tous ces débris de verres que l’on ramasse à peine
De nos vies porcelaine
Refrain :
Sous les roses rouges des allées en fleur
On traîne quelques heures
Sont-elles plus douces sous un saule pleureur
Les épines dans nos cœurs
Ca sert à quoi, à rien, regarder en arrière
Le temps c’est rien, c’est bien trop de poussière
On cache, on feint, sous le tapis de verre
De nos vies cache-misère
Ca sert à ça les ombres, réveiller la lumière,
A ça, les ombres, nous sortir de sous terre
Avec en nous l’été qui nous protège
De nos vies boules de neige
Refrain
A quoi ça sert, à rien, à part nourrir nos peines,
Le temps c’est rien, on court à perdre haleine,
On laisse en chemin comme une pelote de laine
De nos vies bouts d’ficelles.
Refrain
C’est une ballade en solitaire, de cheminés en cheminés, le nez au vent libre comme l’air.
C’est un jeu un peu dangereux une ballade loin de la terre, loin du ciel, entre les deux.
C’est être un peu chat de gouttières, ou acrobate ou funambule, que d’aller défier la lune.
Un jour on se rencontrera et on deviendra la tribu, de ce qui marchent sur les toits.
De ce qui marchent sur les toits, de ce qui marchent sur les toits,
de ce qui marchent sur les toits.
C’est un parfum de liberté, comme un nouveau goût dans la bouche, une promenade sans gravité.
C’est un air plein d’oxygène, qui fille le long de mes artères, la fumée blanche du chant des sirènes
On est tous un peu là pour ça, on vient pour passer quelques heures, juste au dessus de vous sur les toits.
De ce qui fument sur les toits, de ce qui fument sur les toits, de ce qui fument sur les toits.
Y a la nature autours de nous, tout plein de jardins suspendus c’est Babylone en plein Paris.
C’est joli comme un mois de mai, un cerveau qui part en vacance, un bon pastis en plein été.
On s’y sent seul on s’y sent bien, on pourrait y passer la nuit, boire la rosée du matin.
Un jour on se rencontrera et on deviendra la tribu, de ce qui dorment sur les toits
de ce qui dorment sur les toits, de ce qui dorment sur les toits, de ce qui dorment sur les toits
C’est une ballade dans le désert, une histoire faîte de paraboles et l’on y est libre comme l’air.
C’est plus un jeu c’est du réel, quand faut remettre les pieds sur terre, on voudrait plutôt se faire la belle.
Je sais bien qu’il faut redescendre, qu’il ne faut pas faire la tête …
« et mais là on achèterait pas un appartement terrasse ????
-Ha ouais c’est pas con ça !!! »
Un jour on se rencontrera et on deviendra la tribu, de ce qui vivent sur les toits.
J’vais pas te dire qu’il faut rester, je vais rien dire, j’vais pas pleurer
J’vais juste rester là devant toi, les bras ballants, rien d’autre que ça
Je vais t’éviter les couplets sur les non- dits, sur le passé
Je vais pas chercher de victimes, j’vais pas dire les mots qui abîment
J’vais pas faire ça, non, j’veux pas d’souvenirs de ce jour là
J’vais pas t’faire ça, non, le temps l’a déjà fait pour moi
Moi je vais garder le meilleur, nos plus belles nuits, nos plus belles heures
Nos joies complices qu’on n’taisait, j’vais garder ça de toi et moi
Moi je vais rester à ma place, je vais pas risquer que tu m’casses
J’essaierai pas de te retenir, je vais te regarder partir
Et j’vais pas vouloir t’attendrir ni te faire le coup des souvenirs
Te rappelles-tu mon belle amour? Te rappelles-tu de ces beaux jours?
Du temps où on prenait le temps quand l’vent caressait nos vingt ans
Non, tout ça je le garde pour moi, je l’étalerai pas devant toi
J’vais pas faire ça, non, j’veux pas d’souvenirs de ce jour là
J’vais pas t’faire ça, non, le temps l’a déjà fait pour moi
Moi j’voudrais que tu t’trouves une place au fond d’ma tête, là où j’entasse
Ce qui fait d’moi ce que je suis et ce pour quoi j’aime la vie
Moi j’vais t’regarder dans les yeux et puis te dire qu’c’est sûrement mieux
Te dire que si on en est là, c’est qu’il y a une raison à ça
Moi j’vais faire ça
Ouais, j’vais en faire le moins possible, moi j’ai tellement peur qu’on s’abîme
Puis j’aime pas trop ce cinéma qu’on rajoute dans ces moments là
J’vais pas faire ça, non, j’veux pas d’souvenirs de ce jour là
J’vais pas t’faire ça, non, le temps l’a déjà fait pour moi
Moi j’viendrai arroser les fleurs que t’as fais pousser dans mon coeur
J’veux pas qu’elles fanent, j’veux pas qu’elles meurent
Je veux qu’tu t’éloignes sans rancoeur
Moi j’voudrais rester important, être celui à qui tu penses
De temps à autres, de temps en temps, quand tes nuits réclament une présence
J’voudrais être ça
Je vais pas m’jeter par la fenêtre
J’vais pas te dire si je regrette
Je vais pas me traîner à genou
Je vais presque rien faire du tout
J’avais presque quatre ans, un enfant qui joue seul
J’ai du devenir grand, m’en prendre plein la gueule
Un nouveau cri chez moi, on me dit que c’est ma petite sœur
Elle ne me ressemble pas, moi je ris souvent, elle pleure
Cà fait plus de trente ans maintenant dans l’habit du grand frère
Est venu nous rejoindre entre temps le petit, notre petit frère
J’ai pris sur moi, tant pis, de veiller sur leur vie
J’étais à peine plus vieux mais voilà,
On ne m’a pas vraiment laissé le choix
Refrain :
J’étais là le premier,
Bien obligé de faire de mes épaules d’enfant
Les épaules du grand frère
J’ai agit bien souvent à l’envers, sur le fil du rasoir
Je n’avais pas comme vous la lumière, j’avançais dans le noir
Mon cœur aux oubliettes, la clef au fond d’un puits
J’ai suivi une route toute prête, tout ce que mon père m’avait dit
Je sortais par la porte, je rentrais par la f’nètre,
Adolescent courant d’air
Je n’étais certainement pas l’meilleur des aînés,
Je n’peux plus le défaire
Un ancien cri en moi comme une bête qu’on musèle
Pour pouvoir vivre ma vie à moi je me traîne l’image du frère infidèle
Refrain
Aujourd’hui j’ai grandit, c’est à moi c’est mon tour
De vous dire ma famille, je vous aime plus que tout
On efface les blessures, on oublie nos douleurs
On fait tomber tout autour les murs, on sera toujours frère et sœur
Refrain x 2
Elle est si douce elle est si belle , elle se cache parfois
Ou elle murmure à nos oreilles les doux parfums d’autrefois
Et elle sommeille en chacun de nous l’éternelle symphonie
La douce ivresse après laquelle on cour la plus belle harmonie
Allez viens je t’emmène caresser le soleil la où dansent les ombres la nuit
Viens goûter avec moi tous les monts et merveilles de la douce mélodie de nos vies
On l’entend un peu plus tous les jours la p’tite voix dans nos têtes
Notre plan schizophrénie à nous phsyco-plan sur la commette
Une fleur un rire un battement d’ailles une bonne journée qui commence
Une autre touche de couleur dans le ciel la plus simple évidence…
Allez viens je t’emmène caresser le soleil la où dansent les ombres la nuit
Viens goûter avec moi tous les monts et merveilles de la douce mélodie de nos vies
Allez viens je t’emmène caresser le soleil la où dansent les ombres la nuit
Viens goûter avec moi tous les monts et merveilles de la douce mélodie de nos vies
Elle est si douce elle est si belle , elle se cache parfois
C’est juste une toute petite histoire
Juste l’histoire de quelques mots
Eparpillés sur la page,
Aux quatre coins, le bec dans l’eau
Refrain :
Je vais pas rester une nuit
A mettre des points sur les I
Et même si je m’entête
Je le sais bien, il n’en reste rien
Y’a pas de quoi en faire un drame
A peine une rime sous un stylo
Qu’on pourrait lire en filigrane
Dans quelques verres, sous le goulot
Refrain
Une parenthèse une autre nuit
Juste l’histoire de quelques mots
Sur une page vierge où l’on écrit
Que la peur du vide à bon dos
Refrain
J’ai vu venir ces petites choses,
Pas de quoi se remettre en cause,
A petites doses à petit train
Elles nous font glisser vers la fin
Elles nous font glisser vers la fin
De petites choses en petits riens
On avait la couleur des roses,
On pouvait sentir le parfum
Mais pour des envies d’autre chose
On oublie qu’on est des gens bien
Et on laisse couler le venin
De petites choses en petits riens
J’ai vu pourrir ces petites choses,
Ces mots qu’on croyait anodins
Tout c’qu’on avait rangé dans les coins
Tout ce dont on prenait bien soin
De faire comme si de voir de loin
De petites choses en petits riens
Déguisé en tout autre chose
Tes petits jeux les plus malsains
On un arrière goût d’overdose
Et de nos âmes plein d’ecchymoses
Je te laisse le sang sur mes mains
Et pour toi c’n’est peut-être rien…
Tu sais que je pense, que je pense à toi, je pense à toi tout bas, à toi qu’est tout pour moi
Je sais que tu panses, tu panses tes plaies à toi, et s’il me plait à moi d’être avec toi pour ça
Laisse moi le choix, moi le choix je l’ai pas, j’ai pas vraiment le droit, tu ne le laisses pas
Mon amour avec toi je veux être et je suis pas
REFRAIN :
Mais je sais que tu danses, je sais que tu danses
Et moi j’attends ma chance et la chance on en voit et cette chanson là me renvoie a ma chance a la chance qu’on a pas
Mais je sais que tu danses, je sais que tu danses
Et moi je danse pas
Je sais que tu penses, que tu penses à moi, tu penses à moi des fois, des fois où ça va pas
Tu sais que je chante, que je chante pour toi, je chante pour toi tout ça même si tu l’entends pas
Laisse toi le droit, t’as le droit d’être là, d’être là avec moi-même si tu y crois pas
Mon amour avec moi tu veux être et je suis las
REFRAIN :
Mais je sais que tu danses, je sais que tu danses
Et moi j’attends ma chance et la chance on en voit et cette chanson là me renvoie a ma chance a la chance qu’on a pas
Mais je sais que tu danses, je sais que tu danses
Et moi je danse pas
PONT :
Je sais que tu danses x4
REFRAIN
Mes yeux sont posés sur la lune
A l’endroit
Où se frôlent et se bousculent
Mes humeurs
Mes mots à l’encre et à la plume
Comme hier
Une vie j’en ai qu’une
Oh je me garde je ne me change pas
Je mets tous mes costumes d’autrefois
Refrain :
Je ne suis pas de ceux qu’on bouge
Laissez moi comme avant, le temps de faire semblant
Laissez moi comme avant, le temps d’avoir le temps
Comme avant
Je ne marche jamais sur les lignes
Je le sais
Le noir m’effraie me rend indigne
De mon rang
Mais moi je cours j’oublie les signes
Et le vent
Me berce me transporte et me désigne
Oh je me garde je ne me change pas
Je mets tous mes costumes d’autrefois
Refrain :
Je ne suis pas de ceux qu’on bouge
Laissez moi comme avant, le temps de faire semblant
Laissez moi comme avant, le temps d’avoir le temps
Comme avant
Je bâtirai de mes mains, une maison dans le ciel
Je construirai demain une vie bien réelle
Là où coule la rivière
J’entends déjà ton rire quand tu ouvres la porte
Prise en flagrant délire là où le vent nous porte
Là où coule la rivière
Laisse moi te faire
Refrain :
Une place au soleil, une place au soleil
Là où coule la rivière, une place au soleil
J’apprivoiserai la lune, pour qu’elle berce ton sommeil
Léger comme la plume, là où dort le soleil
Là où coule la rivière
Je laisserai comme avant la pluie nous divertir
Faire de chaque moment un instant de plaisir
Là où coule la rivière
Laisse moi te faire
Refrain :
Une place au soleil, une place au soleil
Là où coule la rivière, une place au soleil
Notre place au soleil, notre place au soleil
Là où coule la rivière, notre place au soleil
J’ai bâti de mes mains, une maison dans le ciel
J’ai construis pour demain une vie bien réelle
Une place au soleil
J’entends enfin ton rire quand tu ouvres la porte
Prise en flagrant délire dans tes rêves tu m’emportes
Là où coule la rivière
Laisse moi te faire
Refrain :
Une place au soleil, une place au soleil
Là où coule la rivière, une place au soleil
Notre place au soleil, notre place au soleil
Là où coule la rivière, notre place au soleil
ad lib